Cathédrale Saint Basile

 

Aujourd’hui, je quitte le Guatemala pour Moscou, je suis tellement intéressée par cette ville avec sa cathédrale si grande et si colorée et ses couleurs si joyeuses, cela est intrigant.

Je suis tellement excitée à l’idée de changer de pays !

Aujourd’hui, je prends l’avion pour Moscou.

2 heures plus tard:

Je suis à Moscou, il fait très froid, moi qui avais pris que des affaires d'été quelle courge je suis ! mais heureusement, j’ai mon pull en laine que j’avais acheté au Guatemala.

Le paysage change de ce que j’ai pu voir auparavant

il fait un temps d’hiver, une petite brise vient me réveiller de ma fatigue du voyage et enfin je reprends le chemin vers mon beau palais russe !

20 minutes plus tard :

Enfin je suis dans un bel endroit où je peux me reposer de mes émotions

ma chambre est très belle, elle est décorée de belles peintures représentant des bateaux avec de grandes voiles blanches, les vagues ont l'air d'être très calmes.

A regarder ce tableau je me sens dans ce grand navire les vagues qui bercent mes rêves d’enfants.

J’ai failli oublier de vous le dire ces bateaux me font penser à un dessin animé que j'ai pu voir à Paris ce film se nomme “tout en haut du monde”voici quelques informations sur ce  film:

Date de sortie: 2015 - Réalisateur: Rémi Chayé - B.O

Revenons à notre palais russe ma chambre est très confortable, mais la meilleure des choses ce sont les terrasses !

Les terrasses sont entourées de végétation exotique, cela est étonnant vu le climat mais cela donne un charme merveilleusement féerique et envoûtant, voici quelques photos que j’ai pu prendre après mon repas:

Après une longue sieste, je compte visiter quelques endroits à Moscou.

16 heures:

Je prends le métro pour me rendre à la place rouge pendant le trajet il y avait beaucoup de monde cela était légèrement pénible, la foule le bruit cela m'a pris beaucoup de temps pour atteindre mon but mais que d’émotion !

Enfin je me retrouve à l’entrée de la place rouge, le sol est fait de carreaux avec de la mosaïque de couleur chaude: du rouge, du jaune et de l’orange cela est tellement beau !

Je commence à marcher vers la fameuse, la magnifique, la cathédrale Saint Basile.

“Petite pause historique “

Le saviez vous qu'aujourd'hui ce prestigieux monument représente le symbole de l’architecture russe,

Cette belle tour est là pour célébrer la prise de Kazan par les troupes russes

“Fin de petite pause historique”

18 heures

La nuit commence à tomber.

De belles guirlandes lumineuses éclairent les maisons russes ,de jolis lampadaires en forme de flocons éclairent les allées dans la pénombre.

C’est alors qu’une bonne odeur de biscuit à la vanille vient me chatouiller les narines, je m'aperçois que cette odeur vient d’une boulangerie du coin, je rentre, j’ai l’impression de me retrouver dans une petite maison de lutin, quelle jolie petite chaumière !

De belles peintures décorent le mur.

Sur les étagères des peluches et plusieurs souvenirs comme des boules à neige ou des stylos avec des écritures russes, des souliers en fourrures, des chapeaux et des poupées russes.

C’est la toute première fois que je rentre dans un endroit comme celui-ci, une boulangerie sortie tout droit des contes de fée, un hôtel en plein milieu d’une ville plongée dans l’hiver avec des paysages exotiques !

Je sors un gâteau à la main saupoudré de sucre glace, de vermicelle de toutes les couleurs ,je croque dans le gâteau il est si bon si moelleux si crémeux.

Cette ville ne cessera donc jamais de m'étonner !

Je m'entraîne, dans la foule….

C’est la foire de la place rouge, juste pour le plaisir des yeux je m’entraine dans une explosion de couleur d'odeur et de bonheur, des familles nombreuses avec des enfants de tous les âges se dirigent vers les jeux attractifs: des manèges, des auto-tamponneuses et bien d’autres encore !

De belle jeunes filles se prennent en photo devant les jardins ,des vielles dames vendent leurs produits traditionnels, des huiles de toutes sortes, des bandeaux à cheveux, des fleurs qui sentent bon l’espoir, des fruits, des robes à fleurs.

Juste à coté se trouve un restaurant avec de jolis murs en bois coloré et plus loin une patinoire avec la vue sur les belles maisons décorées de lumières.

Cela donne un rendu magnifique ! Toutes ces choses ensemble liées dans la même ville, dans la même place.

Si vous voulez êtres surpris, allez à la place rouge si vous voulez être éreinté allez dans le métro. Il fait froid mais, tout l’amour que les habitants portent à leur ville bien-aimée et à leur culture réchauffe les cœurs et les inondent de bonheur .

Ce voyage en Russie était exceptionnel cela était magique et j'espère y retourner un jour un seul mot à dire:

Russie je t’aime !

---

 Par: EM

 

 

Ces derniers mois, plusieurs scandales ont secoué différentes sphères constituées de personnes célèbres et influentes, la cause : la libération de la parole de la femme. Une parole qui, avec sa libération, a exposé les atrocités que vivaient et vivent les femmes au quotidien sur leur lieu de travail, surtout dans les milieux cinématographiques (Harvey Weinstein) et politiques (Gérald Darmanin). Certains ont avoué, d’autres ont nié, mais qu’importe, ces accusations, souvent proférées sur les réseaux sociaux (#balancetonporc) suffisaient à porter une atteinte grave, voire détruire la carrière de plusieurs des accusés, mais nous oublions là un pilier institutionnel, un principe, un droit de l’homme : la présomption d’innocence, qu’avons- nous fait de la présomption d’innocence ?

Les évolutions technologiques donnent un accès illimité à l’information, mais cet accès illimité implique la disparition des filtres empêchant ce que l’on appelle aujourd’hui les “fake news” d’être publiées. On ne distingue presque plus publication officielle, réelle, de fausse suspicion d’un internaute, la perte de cette distinction a fortement contribué à l’explosion des différents hashtags liés au harcèlement sexuel. L’idée de cette tribune n’est pas de remettre en cause la libération de la parole de la femme, mais de mettre en garde les lecteurs, tous les acteurs, producteurs, réalisateurs accusés ne sont pas forcément coupables. De plus, la nuance entre humour et harcèlement n’étant pas toujours claire, la ligne à ne pas dépasser variant d’une personne à l’autre, contribuent au flou qui entoure ces affaires en général.

“Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.” Article 11 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme

---

Par: I.Q

 

Le 22 mars 2018  

Quelle dommage !Aujourd’hui je quitte la Polynésie française.

Gardons le bon côté des choses j’ai pris des couleurs et j’ai encore le goût du sel dans ma bouche, les vagues bercent encore mon esprit et mes rêves polynésien.

Ce matin j’ai reçu une lettre m'invitant aux Guatemala ,c’est mon tres chere ami Marco qui m’invite à son mariage avec Mishel une de mes meilleur amies guatémaltèque.

Je suis tellement heureuse !

Le 23 mars 2018

C’est bon je suis sur la route, chaleur, bonheur, me voilà ! vers l’aventure et l'au delà je suis la !

C’est bon, je suis arrivée à l'aéroport de la ville de Guatemala il fait si bon, mais tout de même une petite brise se balade à travers les montagnes et fait voler une odeur d’épices venant tout droit des maisons du village.

Je mets un bonnet de couleur vive pour avoir l’aire d’une guatémaltèque mais je me rend tout de suite compte que les habitant de guatemala me regarde bizarrement et quand je suis dans la voiture le chauffeur n'arrête pas de rigoler et lui demande ce qu’il lui arrive et il me dit que c'était la première fois qu’il voyait une touriste de mon genre et que en printemps ont ne m'était pas de bonnet chez eux a par si il y neigeait.

Génée j’enleva mon bonnet et rigola avec lui au éclats !

1 heure après j'étais enfin devant la maison de Mishel et de Marco.

Voici des photos de leurs jolie petite maison.

L’entrée

La terrasse

Ma chambre 

La cuisine

Leurs maison n’est pas si petite que ça finalement ma chambre a vue sur la place de cette ville si poétique  c’est une ville très étendu.

Après m'être installé mes amis m'on fait une belle surprise il mon amener le bandos sur les yeux dans un endroit que je n’avais jamais vue auparavant un très belle endroit un restaurant dans la nature les tables sont situés tout près d’un grand saule pleureur avec des fleurs violette  tombant sur mon visage les serveurs viennent et parte avec des multitude de plats guatémaltèque voici quelque photos:des grillades des salades du poisson du riz des pomme de terre des sauces épicées

C’est merveilleux !

Mais je ne vois plus Mishel, quelque instant plus tard je vois apparaître ma tres chere amie dans une très grande robe colorée des éteincelle illumine mes yeux elle danse sur elle même avec sa belle robe fleuri.

Marco L'entraîne dans une danse traditionnelle c’est leur mariage !

Toute la nuit nous nous amusons dansons, chantons et mangeons et buvons.  

C’était la meilleur soirée de toute la semaine et j'espère revoir bientôt tout mes amies et retourner dans ma ville préférée !

Voici une musique que j'écoutais pendant mon voyage

---

Par: O.E.M

 

 

Bonjour à tous chers lecteurs, Hamza vous souhaite une bonne année, avec ses meilleurs voeux de bonheur et de réussite. La nouvelle année a beau être signe de renouveau, Hamza n’arrive toujours pas à trouver le renouveau dans certains domaines, ce qui est certain, c’est que la logique implacable des grands intellectuels marocains, elle, ne va pas en subir, de renouveau, laissez Hamza vous raconter.

Il passait, en voiture, accompagné de sa mère dans une rue de Marrakech, en passant près d’un vendeur ambulant de fruits (dont la légalité de la présence présente un débat à part), il est chargé d’aller chercher un kilogramme de bananes. Il descend donc, après une courte protestation, et se retrouve devant ce vendeur, précédé d’un homme à apparence moderne, manteau, lunettes, béret, qui était, contre toute attente, en train d’expliquer au vendeur que s’il achetait un demi kilogramme d’oranges au lieu d’un, le vendeur devait lui vendre moins cher parce que c’est à son avantage. Même le vendeur qui, vu son apparence faciale, devrait être à l’école en train d’apprendre les bases des mathématiques, était choqué par ces propos. Mais l’homme insistait, convaincu qu’en lui achetant moins d’oranges, il lui en laissait plus à vendre, le vendeur était donc gagnant, Hamza crut longtemps à une blague mais il est aujourd’hui sûr de la sincérité des propos de ce génie à la logique révolutionnaire. L’homme finit par se résoudre à acheter son demi kilogramme d’oranges au prix normal, Hamza finit d’accomplir sa mission avant de rejoindre la voiture, dans une incompréhension totale.

(Chronique inspirée de l’Hebdomadaire Telquel)

Anonyme

Cher journal, aujourd'hui, je quitte le japon pour la Polynésie française. Je prends l’avion, je suis un peu stressée mais ça va.

18h30 - Tahiti

Enfin, me voilà à Tahiti plus précisément à Punaauia, iles paradisiaques, plages de rêve, séjour de rêve me voilà !

Le propriétaire de la cabane où je vais passer mon séjour, m'accueille avec joie et bonne humeur. Il me met un collier de fleurs d’hibiscus de tiaré et plein d’autres dont je ne connais pas le nom.

Je prends la pirogue pour accéder à ma cabane sur piloties. Elle est faite de bambou de feuille de palmier.

Je me sens tellement bien, le vent dans mes cheveux, je me sens libre, je me sens comme une vahiné qui est libre comme l’air.

Une heure après, je suis allongée dans mon hamac suspendu  à une poutre près de la terrasse. Les coutures du tissu sont brodée à la main, les impressions sont de couleur bleu outremer et bleu cobalt, des dessins apparaissent sur le tissu, ils représentent des pirogues avec des hommes pêchant du poisson argenté.

C’est l’heure du repas,  les voisins m’invitent pour prendre un menu cent pour cent polynésien. Je suis devant la porte de Maya Moto, ma voisine elle a 12 enfants,  filles et garçons. Nous passons à table Maya Moto est toujours aussi souriante comme le premier jour où je l’ai connue à Lyon.

C’était un jour de pluie, j’avais perdu mon ticket de train,  j'avais perdu tout espoir de retourner chez moi, il ne me restait plus aucun sous.

Elle était là, elle me regardais avec gentillesse et elle eut pitié de moi

(Bonjour jeune fille, vous chercher quelque chose)

et nous marchions côte à côte, cherchant mon billet.

A la fin, Maya Moto m'avait offert un ticket de train et depuis nous sommes amies.

Bon, revenons à table, elle venait et partait ramenant des plats de toutes les couleurs et de toute sorte d'odeurs magiques et inconnues à mon gout. Une tempête de sentiments et de couleurs traversait mon corps et envahissait mon esprit et mon coeur de bonheur.

Du poisson blanc, des crevettes, des fruits verts, rouge, orange, de passion, des épices des couleurs, de la crème, du pacato, des zimbala et des sampara, des plats préparés maison faits main.

je rentre chez moi émerveillée, je n’avais jamais aussi bien mangé de toute ma vie. C’est tellement bien la Polynésie !

Ah oui, j’ai failli oublier Maya Moto m’a donné la recette de sa délicieuse soupe:

Soupe de coco et poisson cru du lagon

Ingrédients:

• Thon  : 600  g
• Oignons nouveaux  : 4  
• Carotte  : 1  
• Barquette de graines germées  : 1  
• Citrons verts  : 3  
• Lait de coco non sucré  : 20 cl
• Curry  : 1  pincée
• Gouttes de Tabasco (un peu)
• Sel

Préparation:

1. Rincez soigneusement les graines germées et égouttez-les. Pelez et émincez les petits oignons. Pelez et râpez la carotte. Lavez, épongez et détaillez-le le thon en lanières.
2. Pressez les citrons pour en extraire le jus. Mettez les lanières de poisson et l’émincé d’oignon dans un saladier. Salez et arrosez de jus de citron. Ajoutez le lait de coco, le Tabasco, le curry et mélangez. Couvrez d’un film alimentaire et
3. Préservez 2h au frais.
4. Servez le ceviche très frais dans des verrines, décorer de graines germées.

 

C’est le matin, je vais faire un tour en ville, je suis tellement heureuse, je vais pouvoir faire connaissance avec les environs.

L’aventure me voila, il fait si bon et si chaud. Je sens que je vais aller à la plage moi !

je vois des musiciens polynésiens,  cette musique est si belle et envoûtante, des personnes sont en train de danser et moi aussi je me mets à danser, c’est si entraînant. Des femmes sont en train de tresser des panierS en osier et d’autreS vendent du poisson qui vient d'être pêché de toutes les couleur de la mer. Des magasin qui vendent des coquillages, des perles et plein d’autres trésors.

Je me rends à la plage, je me promène et profite de la vie, le soleil est en train de se coucher, le soleil caresse ma peau et mes cheuveux, je suis au paradis de la vie.

Polynésie, tu vas me manquer.

---

Article et dessin par: O.EM.